Le gourou de l'investissement et ancien élève de Princeton, Steve Richard Berger, critique son ancienne université pour ses mandats réducteurs de vaccins à ARNm contre la COVID-19.

Le 20 décembre 2022, le gestionnaire de fonds spéculatifs et donateur de Princeton, Steve Berger, a rédigé une lettre à Hilary A. Parker, vice-présidente et secrétaire de l'Université de Princeton, exprimant ses graves préoccupations concernant les récentes exigences de vaccination des étudiants de l'Université contre le Covid-19 à base d'ARN messager.

Princeton sacrifie-t-elle sa jeunesse sur l'autel de la grande pharma et de la générosité de la santé publique fédérale ou est-ce que l'inertie bureaucratique explique son intransigeance ?

Palm Beach, Floride (Newsworthy.ai) Vendredi 6 janvier 2023 à 11h45 heure de l'Est. —

DailyClout.io a publié la lettre de M. Berger à l'Université de Princeton dans une tribune libre : L'ancien élève et donateur de Princeton, Steve Berger, écrit au vice-président de Princeton concernant les mandats illégaux.

Dans sa lettre, M. Berger cite les études évaluées par des pairs d'un cardiologue australien de premier plan, ainsi que des données alarmantes du système de déclaration des événements indésirables des vaccins (VAERS) du CDC/FDA, pour affirmer que l'obligation pour les étudiants de prendre des vaccins à ARNm les met inutilement en danger.

M. Berger blâme les derniers mandats redondants de Princeton pour une nouvelle mentalité illibérale qui a usurpé l'approche intellectuellement honnête et moralement courageuse de l'université pour aborder les questions clés, une approche qui avait été consacrée dans l'institution au cours des 277 années précédentes.

VP Hilary A. Parker, notamment, n'a pas répondu à la lettre de M. Berger.

Ce silence est stupéfiant, surtout compte tenu de la déclaration de M. Berger dans sa lettre : "J'avais un dossier immaculé de dons à Princeton (dans la plage à cinq chiffres depuis près de 20 ans), mais j'ai décidé en 2021 de cesser tous les dons à Princeton en raison de ses politiques draconiennes, capricieuses et de plus en plus non scientifiques, culminant avec sa décision d'imposer des injections expérimentales à ses étudiants comme condition de participation. J'ai informé notre agent de classe de ma décision."

M. Berger remet en question les motivations derrière les mandats en écrivant : "Le Princeton où j'ai étudié était synonyme d'honnêteté intellectuelle et de courage moral, mais je trouve malheureusement que la persistance de l'université à exiger des injections expérimentales inutiles et potentiellement dangereuses est obtuse et lâche. Est-ce que Princeton sacrifie sa jeunesse sur l'autel de la grande pharma et de la générosité de la santé publique fédérale, ou est-ce que l'inertie bureaucratique explique son intransigeance ?"

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